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Invité la nuit je mens, à Paris je me fonds | Sujet: (la faucheuse ne regarde pas les dents) Dim 11 Oct - 3:41 | |
| POPE SIN
| CHESHIRE "DUNHAM" AVERY nom : dunham, patronyme troqué le jour de sa mort pour cheshire, honneur au chat souriant. ▲ prénom : avery, ou ave, banale offrande d'heureux parents. il a pourtant refusé de l'échanger, lui. ▲ âge et date de naissance : il partage son anniversaire avec les fantômes et déguisements, étant fêté chaque trente-et-un octobre depuis trente ans. ▲ statut civil : célibatârd est sa triste vérité, depuis que son palpitant à perdu l'usage d'aimer. il désespère d'une conquête à l'autre, dérobe et mange toute la brûlante passion du début, avant de prendre la faux à son cou. il n'a aimé qu'une seule fois, dans sa vie passée, grossier fantôme qui n'est plus si vaporeux. ▲ orientation sexuelle : aucune. le monstre s'en balance, de ce qui se cache entre les jambes. une préférence qui ne change pas, mort ou vif. ▲ metier : dans son ancienne vie, policier. maintenant homme à tout faire pour une vieille église, il vend son âme au diable chaque fois qu'il invite les drogués au sous-sol. là, le dealer échange beaux cauchemars contre délicieux billets verts. ▲situation familiale : autrefois fier fils d'un amoureux mariage et frère de fortes jumelles, il se surprend à doucement les oublier. malheur faucheur, qui tente de reconstruire famille en réunissant différents monstres. ▲ Ton espèce : esclave du chevalier de la mort, il fauche plus par envie que devoir. faucheur voleur, seul destin restant. ▲ traits de caractère : fou juste assez, généreux égoïste, joueur, camé à l'humanité, gourmand, impulsif, nonchalant, froid affectueux, empathique dieu merci, instable modéré, dangereux parfois, mortellement drôle, vide, loyal. ▲ Que penses-tu des créatures ? : elles glissent parmi les vivants depuis si longtemps, elles sont la raison d'une partie du mal. utiles, volatiles, sans elles, peut-être que le monde ne pourrait plus tourner droit. ▲ groupe : pigalle. ▲ crédits : arwene, ava. themysteryworld"dot"com, gif1. wifflegif"dot"com, gif2. |
du bonheur, c'est là-dedans qu'il est né. lumineuse famille, lumieux avenir, sombre tragédie, sombre mort. il a arrêté de vivre brusquement, et au lieu de mourir paisiblement, il est revenu, il a assisté à ses propres funérailles. ▲ d'la drogue, il en consomme aussi. les grammes qu'il peut pas s'empêcher de réclamer. les émotions qu'ils dévorent chez les humains, puisqu'il perd constamment les siennes, depuis qu'il a cessé de l'être. ▲ des sourires, il en offre généreusement. pas un ne touche ses yeux, pas une blague qu'il échappe ne réchauffe ses entrailles. sauf quand il vole le sentiment chez une riante personne. il fait naître l'émotion qu'il veut pour en devenir un instant propriétaire. maudit drogué à la recherche d'humanité. ▲ de l'angleterre, c'est d'où il vient. il a toujours trouvé repos dans sa terre natale, sa nouvelle identité a cependant nécessité un changement de toit. quel mieux que les étoiles de paris, ville lumière pour pallier à la noirceur souillant son enveloppe corporelle.▲ d'une douce folie il est habité, peut-être prononcée à force d'absorber les grammes des camés. il s'est vêtu d'une mission, celle de réunir un membre de chaque race sous son toit. l'objectif, une possible colocation. il n'a rien, le faucheur, plus de passion et qu'un désir d'âmes, de mort. vivre dans les défis, c'est s'adonner à une nouvelle saveur, une qu'il peut prétendre goûter. ▲ pope sin, c'est le surnom que les vivants lui ont donnés, naïfs junkies. ça le divertit bien, alors que ça lui donne un semblant de crédibilité, dans le sous-sol de la maison de dieu. mais pope, il fait des mises comme le diable, à tromper les âmes aussi froidement que sur le spanish train. ▲ de l'indifférence, il en transpire à la pelle. c'est mieux ainsi, plus facile comme ça. il a déjà essayé de sauver des cas perdus, mangeant en pleine gueule les conséquences du destin. alors il fauche, alors il serre les dents, quand c'est injuste, même pour le faucheur. ▲ de religion il discute souvent, employé charmant dans une vieille église de croyants. il ne l'est pas, ne l'a jamais vraiment été. mais les croyances des naïfs apportent une ressource inépuisable de divertissement. ave ne cache pas son scepticisme religieux, accueillant les histoires des passants sur l'appui divin. la foi qui infuse ses veines froides est un doux amuse-gueule. ▲ de jeux vidéos il se divertit toujours, plaisir enfantin qu'il ne souhaite pas mettre de côté. qu'on soit monstre ou humain, l'aventure reste la même. et quand la messe s'éternise, il n'est pas rare de voir le faucheur sur son portable, à briser l'ennui d'une énième application. ▲ d'aventures et de trocs il voudrait vivre, s'assurant d'ajouter l'un et l'autre dans son quotidien. il a déjà troqué circonstance de mort contre le droit de manger gratuitement, et pour toujours, dans un des meilleurs restaurants de paris. il prend aussi son temps pour visiter le monde, imprimer sur ses rétines fades les merveilles de la terre. ▲ ton pseudo : noface, comme dans spirited away. ▲ ton âge : perdu entre vingt-cinq et trente, suis-je prête pour le vrai âge adulte? ▲ ton pays : dans l'québec de là où il fait froid. ▲ ta fréquence de connexion : autant que je peux. ▲ comment t'es arrivé ici ? en cherchant tout sauf des monstres, y trouvant meilleur que l'reste, finalement. ▲ ton avis sur le forum : il vend du rêve, et du sang. ▲ un commentaire ? ghen. |
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Invité la nuit je mens, à Paris je me fonds | Sujet: Re: (la faucheuse ne regarde pas les dents) Dim 11 Oct - 3:41 | |
| DUR DUR D'ÊTRE UN VIVANT
Cette fois, j'vais pas t'manquer, qu'il crache, son venin dissimulé dans la balle qu'il tire. En pleine tête. Qu'on lui coupe la tête! est sa dernière pensée, bercée par le cri digne d'une banshee de l'unique amour de sa vie. Ave ne fut pas manqué, vile promesse qui l'envoie dans les eaux froides de la rivière au débit violent. Il est mort bêtement, du haut de ses vingt-deux ans, à la main d'un ex jaloux. Fiancé à condamné, jamais ont a pu mettre la main sur ses os, sa carcasse absente d'un cercueil vide, froid. C'est parce qu'il est là, dissimulé dans les hautes ombres de l'église. Il sait, cependant, qu'il n'est plus lui. Il jette un dernier regard en bas, ils regardent les tristes pleurer. Ça lui fait presque rien, pourtant, il se sent transpercé le deuil. C'est lourd, alors il s'évade. Il ne peut plus rester, de toute façon. Avery Dunham est mort, assassiné. Aucun anglais ne doit le voir, sauf un, une dernière fois. La silencieuse promesse de son meurtrier de ne pas le manquer, cette fois, est une plaisanterie presque drôle. Car s'il l'a tué aux yeux des autres, la vérité est plus sombre, froide. La balle a raté, la balle n'a pas réussit. Elle ne s'est pas logée, elle a frappé, elle a fait saigner, et puis elle est partit. Ave toujours en vie, toutefois marqué par la mort. La dernière vengeance sera la sienne, alors, attirant un sombre sourire sur les traits ternes du nouveau monstre.
L'autre le regarde fixement, l'air idiot, trop idiot. Il attend, alors que Ave détourne les yeux chaque fois qu'une ombre passe trop proche. Cheshire. Avery Cheshire, qu'il répond finalement, doucement dégoûté. L'odeur typique de la mort lui lève presque son coeur inutile, le nauséabond à nouveau concentré sur la conception d'une fausse carte d'identité. Ça pue, ça lui irrite les narines, pourtant il ne peut s'empêcher de se pencher vers le presque mort. Rendre l'utile à l'agréable en écoutant le souffle de l'humain se bloquer dans sa gorge, après avoir croqué trop gros dans un pain baguette. Avery empoigne d'une main son nouveau permis, tout en profitant de la mort pour se satisfaire avec quelques bouts d'âme rapidement avalés. La culpabilité n'effleure aucune parcelle de peau alors qu'il s'éclipse sans un regard en arrière. Tôt ou tard, le cadavre sera découvert. Le lapin, il sait que sa montre ne lui permet plus de temps, sonnera dans quinze minutes l'heure de son entrevue. Et il est hors de question que le boulot de l'église lui glisse entre les doigts, couverture parfaite.
L'odeur du pain frais enivre ses sens aussitôt qu'il ouvre la porte de la boulangerie familiale. Le couple Dunham a toujours été très simple, inculquant de bonnes valeurs à leurs trois enfants. L'aîné, Avery, s'est tourné vers la justice et a enfilé l'uniforme de police. C'est d'ailleurs dans cet accoutrement qu'il annonce finalement à sa mère la grande nouvelle. C'est oui, lui chuchote-t-il doucement à l'oreille. La matriarche échappe une exclamation de joie, avant que les rires et anecdotes des propriétaires et des clients présents fusent à la mention de mariage. Mariage original, concept nouveau, parce qu'avec Avery, ce n'est que rarement simple. C'est ça, la vie, l'humanité. Une brise blanche, pleine de promesses, une bobine infinie d'instants calculés. Destinée à brûler face aux malheurs à venir. Car la boulangerie chaleureuse touche presque à sa fermeture, parents en deuil incapables de continuer l'affaire. Des jumelles déchirées, siamoises dans une douleur insurmontable. Devant la scène un Avery indifférent, mort et vivant, éternellement différent. Doux remède aux esprits brisés d'ignorer à jamais l'horrible vérité sur le destin monstre du bon Dunham faussement décédé.
Aussitôt que la voix résonne à l'autre bout du fil, il le sent. C'est discret, il sent à peine le frisson lui brûler l'échine. Cheshire sait, cependant, que le propriétaire de la voix a un temps compté. Il a presque envie de lui demander, parce qu'il se demande tout le temps. Chaque condamné qu'il croise, quand l'au-delà le force à voir la fin imminente, il s'interroge. Le sait-il? Est-ce une maladie, ou ignorera-t-il son sort jusqu'à ce qu'il ne soit trop tard? Alors quand l'étranger s'invite lui-même à la maison pour une histoire d'inspection, Ave est victime d'un de ses nombreux sourires automatiques. Avec la vérité des créatures dévoilées au monde, le blond a hâte de voir la tête de l'inspecteur, en venant dans cette maison aux monstres. Peut-être que c'est ici qu'il va mourir, même. Il accepte, prend rendez-vous en inscrivant 9, lunch? sur le calendrier. [...] Choc. Incompréhension. Choc à nouveau, état catatonique. L'inspecteur qu'il avait si hâte de rencontrer, s'amuser, a été meilleur que lui. L'autre, l'inconnu, il ne l'est pas vraiment. Les traits sont différents, vieillis, depuis les années, mais ça reste lui. Son amour perdu, longuement oublié. Comme le reste de l'Angleterre. Avery Dunham, sale enfoiré, que le fantôme accuse, et sa voix. Comment il a fait, pour ne pas reconnaître sa putain de voix, au téléphone? À cause de l'odeur de la mort. Elle est faible, maintenant, alors il se donne le droit de l'ignorer, pour l'instant. Toi? qu'il répond, incapable de prononcer plus d'un cohérent mot. Pour surprendre un faucheur, une apparition de son existence perdue semble fonctionner. C'est irréel, encore plus que lui. On parle? L'autre aussi semble à court de mots, et Ave réalise. C'est l'empathie, qui le fige sur place. Alors il s'efface de la porte, fait signe à l'humain d'entrer. C'est l'empathie, sauf que c'est lui, aussi. Retoucher au passé, ressasser ce qu'il n'est plus. Voilà une aventure à laquelle l'ange déchu ne s'est pas préparé.
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Mahaut Daumla nuit je mens, à Paris je me fonds | Sujet: Re: (la faucheuse ne regarde pas les dents) Dim 11 Oct - 9:28 | |
| Bienvenue Cheshire, rien que ça, JE SAIS que ton personnage va frôler la folie et de toute façon, vu les informations qu'on peut déjà lire, c'est un joli saligaud qui se profile Un faucheur qui offre un dernier voyage aux drogués, c'est vraiment fourbe , surtout dans une église |
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Hyacinthe Durerla nuit je mens, à Paris je me fonds | Sujet: Re: (la faucheuse ne regarde pas les dents) Dim 11 Oct - 11:49 | |
| Je ne connaissais pas du tout ton avatar mais je dois dire qu'il est bien plaisant à l'oeil, surtout pour un faucheur Et c'est quoi cette plume ? Encore un style qu'on accroche au panthéon des beautés (c'est fou tout ce beau monde déjà qui cohabite sur RDN ). Je ne parlerai même pas du personnage qui est ybhufjeifejk et tes idées super originales et... ET JE VEUX LA SUITE ! Bienvenue parmi nous (heureuse que tu sois tombé sur ce forum, oublie les autres, on est mieux ici ) |
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Calla Pettersenla nuit je mens, à Paris je me fonds | Sujet: Re: (la faucheuse ne regarde pas les dents) Dim 11 Oct - 12:19 | |
| COPAIN FAUCHEUR En plus avec petit Eastwood Le début de ta fiche promet de belles choses, j'ai hâte de lire la suite. Bienvenue et bon courage |
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Invité la nuit je mens, à Paris je me fonds | Sujet: Re: (la faucheuse ne regarde pas les dents) Dim 11 Oct - 12:45 | |
| HAN, ce joli personnage ça pue le vice, le beau perdu dans la crapulerie Je ne connaissais pas l'avatar mais il est est sexy ET PUI CE PSEUDO TROP PARFAIT Bienvenu parmi nous joli faucheur |
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Montague Rochasla nuit je mens, à Paris je me fonds | Sujet: Re: (la faucheuse ne regarde pas les dents) Dim 11 Oct - 13:53 | |
| Bienvenue, excellent choix d'avatar! Bon courage pour ta fiche! |
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Petrouchka Wagnerla nuit je mens, à Paris je me fonds | Sujet: Re: (la faucheuse ne regarde pas les dents) Dim 11 Oct - 15:09 | |
| Faucheur. Bienvenue parmi nous avec ce joli choix d'avatar, et bon courage pour la suite. |
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Invité la nuit je mens, à Paris je me fonds | Sujet: Re: (la faucheuse ne regarde pas les dents) Dim 11 Oct - 15:28 | |
| mahaut/ merci pour le vote de confiance, c'est beau de voir que j'arrive à bien peindre ce fou faucheur. ( ) et puis, on a pas vraiment le choix d'arriver avec des idées dingues, avec votre propre contexte et annexes, ça inspire la caboche. hyacinthe/ c'est le gosse de clint, que j'ai récemment découvert dans un film romantique (the longuest ride). ta belle est pas mal non plus, et puis j'avoue ne pas pouvoir m'empêcher de toujours zieuter ton avatar, qui est sublime et parfait parmi les monstres. ah, merci, c'est super apprécié, tous ses commentaires, vraiment. comme je disais à Mahaut, c'est difficile de pas arriver inspiré avec des trucs fous, avec ce que vous avez pondu comme forum. et ouais, je compte bien suivre ce sage conseil. merci encore. calla/ et elle est pas mal également, la copine faucheuse. merci beaucoup pour ses mots d'amour. ambroise/ j'te retourne sans une goutte d'hésitation le compliment, j'aime ce que j'ai lu d'ambroise. le sexy, c'est le petit de clint eastwood, on commence tranquillement à remarquer comme il est aussi beau que son père. et oui, je vais encore te retourner la flatterie, parce que ton pseudo est top, en plus ça va trop bien pour une gargouille. merci jolie pierre. montague/ le prénom. merci à toi. petrouchka/ faucheuse. ton choix est plus que respectable aussi, et je te remercie. |
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Hyacinthe Durerla nuit je mens, à Paris je me fonds | Sujet: Re: (la faucheuse ne regarde pas les dents) Dim 11 Oct - 18:58 | |
| Je viens de voir ça ! Mais il est tout aussi beau que le père (bon le père est trop vieux maintenant, heureusement que le fils prend la relève ) Je fais pareil, sur l'avatar que j'ai choisi elle a une tête de poupée c'est impressionnant, du coup je trompe mon monde, quoi qu'elle est vraiment innocente Hya Et le tien alors, il est parfait aussi, c'est exactement comme ça que je l'imagine. C'est bien si tu suis mon conseil et si tu es inspiré c'est encore mieux parce que ce personnage vybhfjebyufh |
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Arthur Verlacla nuit je mens, à Paris je me fonds | Sujet: Re: (la faucheuse ne regarde pas les dents) Dim 11 Oct - 20:30 | |
| cette chose parfaite que tu es en train de créer j'aime très fort ce que je vois (et puis scott, je l'ai jamais vu jouer mais c'est un régal pour les yeux ) bienvenue dans le coin et bon courage pour la suite |
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Invité la nuit je mens, à Paris je me fonds | Sujet: Re: (la faucheuse ne regarde pas les dents) Lun 12 Oct - 8:50 | |
| hyacinthe. t'as tout pigé. comme quoi faut jamais se fier aux apparences. je me suis dit, quand j'ai vu cet avatar de lui, que ça pourrait coller un minimum, ravie de voir que tu es du même avis. j'aime l'assaut des lettres qui ne forment pas de mots, même si c'est pas cohérent, on comprend que c'est plein d'bonnes intentions. comme quand on essaie de dire à quelqu'un comment qu'on les aime, y'a jamais de mots pour ça. arthur. la chose va terminer gênée. sans déconner, merci pour ta brochette de compliments, et je ne peux que t'appuyer dans le régal des yeux. merci encore, et j'dois dire que ton Art, il semble pas mal aussi. |
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Hyacinthe Durerla nuit je mens, à Paris je me fonds | Sujet: Re: (la faucheuse ne regarde pas les dents) Mar 13 Oct - 8:49 | |
| C'est exactement ça pour les nhjkfenjf J'ai lu ta fiche et elle est juste formidable, ce personnage que tu as créé donne envie de rp avec lui, de le connaître d'avantage mais avant que je puisse te valider je voulais juste appuyer sur le détail de la NDE, Av en tant que faucheur n'est pas vraiment mort, il a frôlé la mort mais sans plus, hors dans ton histoire il me semble qu'il est réellement laissé dans une fosse l'âme en peine ? Ou alors j'ai rien compris (j'ai le réveil et le matin comme excuse ) |
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Invité la nuit je mens, à Paris je me fonds | Sujet: Re: (la faucheuse ne regarde pas les dents) Mar 13 Oct - 15:40 | |
| t'en fais pas, la faute est complètement la mienne. j'ai lu et je suis retournée lire l'annexe, et ma tête dure avait capté que les faucheurs devaient mourir et qu'ils revenaient après, genre super rapidement (ayant à peine le temps d'être mort, quoi). du coup, j'ai modifié le premier paragraphe de mon histoire, pour mettre en lumière le fait qu'il est pas mort, du coup, mais que tout le monde chez lui en est convaincu quand même. j'espère que comme ça, ça ira. si jamais que non, je suis prête à recevoir la première pierre en pleine gueule, promis. ce qui pourrait être possible, j'arrête plus de me battre avec le foutu ordinateur du boulot, qui, je jure, me cherche ce matin. |
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Hyacinthe Durerla nuit je mens, à Paris je me fonds | Sujet: Re: (la faucheuse ne regarde pas les dents) Mar 13 Oct - 20:13 | |
| BIENVENUE CHEZ TOI Pardon pour le retard de validation, j'ai eu cours toute l'après midi du coup mon ordi était hors de portée (pour une grande droguée comme moi c'est difficile ) Merci pour les précisions, j'ai un peu chipoter alors qu'il n'y avait pas de quoi, c'est vrai que c'est compliqué de se dire qu'on frôle la mort mais qu'on est pas réellement mort (ça me fascine méchamment ) Je blablate pour rien pardon, tout ça pour dire que ton personnage c'est petite tuerie. Les références à Alice que tu y mets, de voir une réincarnation du chat en mode faucheur c'est juste bhfuekjnfekj je n'ai plus de mots mais l'admiration est là. J'aime beaucoup la folie qui suinte de ses pores et je suis sûre que tu n'as pas terminé de nous impressionner avec ce magnifique personnage. Je lirai tes rps de très près. Et ajouté à ça tu as une plume très très agréable à lire .Félicitations, tu es validé(e). Avant de franchir les portes de Florence, voici quelques conseils qui pourront t'aider à survivre. D'abord, il te faut VÉRIFIER TON AVATAR DANS LE BOTTIN pour avoir la certitude qu'aucun double, maléfique ou bénéfique, ne vienne te voler ton visage. Ensuite, tu peux aller CRÉER TA FICHE DE LIENS ET DE RPS afin de ne pas terminer en âme noire et solitaire. Pour ce faire, tu peux aussi CRÉER UN SCÉNARIO et peut-être retrouver un visage de ton histoire, une personne avec qui survivre et mourir dans ce chaos. Enfin, si tu veux te détendre et oublier les sombres mémoires du passé, tu peux aller FLOODER avec les autres florentins. Mais n'oublie pas, il faut toujours se méfier de son voisin, ici. Alors, bon courage et bon jeu. |
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