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Rubi Delenikasla nuit je mens, à Paris je me fonds | Sujet: so come over now and talk me down - Rubi Sam 31 Oct - 20:12 | |
| FORT EST CELUI QUI ABAT PLUS FORT CELUI QUI SE RELÈVE
| RUBI DELENIKAS nom : delenikas un nom où les consonnances te plaisent, mais sans plus. Il n'y a rien à ajouter, tu ne sais plus d'où vient ce nom, et tu t'en fiches bien, qu'est-ce qu'un nom parmi les autres ? ▲ prénom : Rubi, sûrement le diminutif de quelque chose, mais tu ne te souviens plus de quoi. Ce prénom te plaît, alors tu ne comptes pas en changer. ▲ âge et date de naissance : vingt trois années d'errance et de plaisir, tout du moins, c'est ce que tu prétends. Mais les souvenirs sont éteints, remplacés chaque jour par des nouveaux, peu importe depuis combien de temps tu nages sur le monde ▲ statut civil : à tout le monde, si ça pouvait s'écrire sur des papiers. Bien que celui soit différent, c'est tout le monde qui est à toi. ▲ orientation sexuelle : pourquoi se priver de l'un ou de l'autre, avançons à l'unisson, tous mains dans la main, pas de préférence, plus de choix, il arrive un moment où tu ne réfléchies plus ▲ metier : skateur professionnel, un métier d'image et de technique, un métier pour un éternel enfant, un métier qui te tient à cœur, contrairement à ce qu'on pourrait penser. Tu aimes autant te pavaner que de rouler à fond sur le bitume, te casser la gueule et péter ta planche.▲situation familiale : libre comme l'air tu respires la solitude des liens familiaux, tu respires la liberté de leur horreur, c'est fini le temps où leur noirceur t'enfumait et te transformait en l'ombre de toi-même. ▲ Ton espèce : sirène, le poisson c'est toi, la mer, c'est la foule, tu te faufiles et tu désires, plus de temps, plus de plaisir, tout se mélange, ce n'est pas l'un que tu veux plus que l'autre, c'est les deux. Tu ne peux plus distinguer le plaisir de la mort, tes sentiments sont réduits au néant, le plaisir est devenu ta survie, l'amour a disparu▲ traits de caractère : Tu ne comptes plus ni l'argent, ni le temps. Ce sont deux choses que tu oublies. Ta mémoire trie, à court thème, la veille n'est déjà plus digne d’intérêt, tout comme le futur n'a pas d'importance. Tu oublies tout, et tu ne retiens rien. C'est ta vie. Chaque minute compte. Chaque minute doit être divertissante. Tu ris, tu danses, tu cries et tu embrasses. Et pourtant, tu pleures aussi, tu ronges tes ongles et tu hurles. La crainte que l'amour te tombe dessus, la crainte de perdre ton corps, ta jeunesse et ta vie. Tu ne patientes pas, tu exiges. Tu ne dors pas, tu somnoles. Tu fuis le jour, tu transcendes la nuit. Tu n'entres pas discrètement, tu fais en sorte que tous les visages se tournent vers toi. Tu te fiches de ce qu'ils sont, tu les fais tiens. Toujours plus. Même si tu as déjà beaucoup. Tu trembles, en faisant semblant d'être le roi du monde. Tu t’essouffles à t'enflammer.▲ Que penses-tu des créatures ? : des rois et des reines, tes égaux dans ce monde humain, ceux qui ne le sont plus, comme toi. Ils méritent ton respect pendant que tu t'imposes à eux. Des frères et sœurs d'arme qui te fascinent, qui t'obsèdent, que tu suis et sur qui tu prends des notes, tu les prends en photo, tu les observent et tu les juges▲ groupe : tu veux toujours plus, la luxure ne te quitte pas, c'est comme ton ombre que tu dépeins derrière toi ▲ crédits : vieux frères, tumblr random |
▲ Les yeux qui glissent pour se relever, toujours ce petit rituel, tu baisses les yeux, tu regardes à droite, tu passes ta langue sur tes lèvres, et tu regardes de nouveau dans les yeux. Séduction innée, beauté ravagée, beauté sauvage. Quand tu veux quelque chose, tu l'obtiens. Et tu veux tout. Tout le temps. C'est comme ça que tu es. Un gamin capricieux. Un enfant qui, pendant longtemps, n'a rien eu. ▲ Tu passes ta main dans tes cheveux. Tu trimballes ton skate sous ton bras chaque seconde. Tu fuis le soleil et tu embrasses la lune. ▲ Tu pleures dans les lieux sombres, dans les bras d'un mort, d'un endormi, d'une personne qui te réchauffe de sa chaleur mais qui n'est pas consciente de ta tristesse. Tu recherches toujours le besoin de te blottir, sans jamais le faire. Tu hurles à l'oreille des sourds. Tu pleures en silence sous les yeux des aveugles. ▲ Tu n'es ni froid, ni trop chaleureux. Tu sautes, et tu t'enterres. Tu jongles entre bonheur et mélancolie, solitude et compagnie. ▲ Le temps passe, et tu l'oublies. Parce que l'oublie est ton salut. ▲ Tu as peur de l'amour, cette chose qui t'ancre dans le présent, qui fait que le passé marque ta peau et qui te force à penser à l'avenir. Tu aimes la frivolité, tu vis le moment, et tu pries pour qu'il soit divertissant. Tout ce qui ne vit pas te fait peur, tout ce qui vit trop peu également, les objets anciens te fascinent. Plus quelque chose a foulé ce sol longtemps, plus elle mérite ton respect et ton adoration. Tu es éphémère mais tu aimes l'immortel. ▲ tu vois du sang, tu deviens fou, c'est une alarme. Celle qui te dit que la mort est immonde et bien présente. Le sang est comme ton pire ennemi, c'est le vice de ne pas être immortel mais de le croire, c'est la preuve que le corps s'effrite et est d'une fragilité déconcertante. ▲ Tu fredonnes souvent les chansons de ton temps, si bien que tu as pensé à te reconvertir en chanteur, il fût un temps. Ta voix est un atout que tu maitrises à la perfection, sensualité comme autorité, tu peux tout faire passer à son travers, tu la modules avec aisance pour donner tes ordres sur le monde. ▲ fraicheur de la nuit, tu frissonnes tout le temps, tu gèles même en été, tes doigts tremblent de froid, subtile détail qui t'échappe, la chaleur n'existe pas sur ton corps. Tes doigts sont souvent bleus, tes lèvres presque violettes et ta peau grise, presque sans vie. En réalité, c'est ton corps qui te prévient qu'il a bientôt terminé sa course folle dans le sablier de la vie. Seule l'eau a le don de te réchauffer, ultime espoir, ultime détente. ▲ suicide perdu, suicide oublié, suicide désiré. Un temps où la mort t'a pris, mais la peur de partir seul t'a effrayé. Cœur brisé, pas de possibilité de recoller les morceaux. Il est parti avec, tu l'as donné à la mauvaise personne. Gaz allumé, médicaments cachés, c'est s'endormir pour un sommeil éternel. Regrets enterrés, cœur arraché, au final, tu lui as laissé. Mais maintenant, il n'est plus qu'oublie. Il avait honte, tu as honte pour lui, lui que la mort a finalement emporté, tandis que toi tu vis. Tu ne regrettes plus rien, à part son amour que tu as touché du doigt et qui t'a marqué à jamais. ton pseudo : disturb ▲ ton âge : 22 ans ▲ ton pays : France ▲ ta fréquence de connexion : tous les jours ▲ comment t'es arrivé ici ? par le partenariat avec Freak's Nation ▲ ton avis sur le forum : juste parfait ▲ un commentaire ? j'vous aime déjà |
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Rubi Delenikasla nuit je mens, à Paris je me fonds | Sujet: Re: so come over now and talk me down - Rubi Sam 31 Oct - 20:13 | |
| I WAS A KING UNDER YOUR CONTROL Tu le vois, et c'est love at first sight. T'en rougis, tellement tu trouves ça ridicule. Mais c'est comme ça. Tu t'approches, sans trop réfléchir, il est là, en train de planter des fleurs dans le jardin que ta mère n'a pas la force et la patience pour entretenir. Lorsqu'il voit ton ombre sur l'herbe près de lui, il lève les yeux. Il est plus vieux que toi, d'au moins une vingtaine d'années, mais ses cheveux sont encore d'un noir de jais, ses yeux bleus semblent lire en toi comme dans un livre ouvert, et alors, tu lui demandes, simplement, si tu peux l'embrasser. L'homme se contente de sourire pour te donner une réponse, tu fais demi-tour avec la persuasion que c'est gagné. Ta sœur a vu ton manège, et pendant près de trois jours, elle ne te lâche pas, elle et son chewing gum constant dans la bouche, ses cheveux lissés et son maquillage parfait. Elle te suit, te questionne, te demande si tu es un de ces hommes qui aiment les autres hommes. Tu lui rappelles que tu as dépucelé sa meilleure amie après que celle-ci t'ait filé cinquante euros en échange, et tu lui expliques que tu aimes les deux. Elle fait une grimace, l'air dégoûté, et s'en va. Et tu te fiches de ce qu'elle pense. Tu sais qu'elle n'ira jamais le dire à tes parents, parce qu'elle a trop peur d'eux. Comme toi. Elle a peur que même si elle te dénonce, ça lui tombe dessus à elle-aussi. Tu ne peux t'empêcher encore et toujours de penser au jardinier, à ses mains rêches que tu rêves voir posées sur ton corps, à ses bras musclés que tu rêves de caresser, ses cheveux, son sourire, ses yeux. Il t'obsède. Il possède déjà ton corps en entier. Tu as été fait prisonnier avec une telle facilité que le soir, quand tu penses à lui, tes joues se tintent d'un rouge puissant, et que tu en as presque envie de pleurer de frustration. Puis vient ce jour où tu pars de chez toi pour promener le chien de la famille, cette horrible bête qui te donne envie de vomir. Tu ne vois pas tout de suite qu'il t'a suivi, c'est seulement, au coin d'un chemin dans la forêt, que tu aperçois une ombre et que, peureux, tu te retournes plusieurs fois, jusqu'à distinguer les traits de son visage. Tu le laisses venir jusqu'à toi, tu ne souris pas, tu restes de marbre. Il s'approche comme on approche un animal sauvage, puis il t'embrasse. Sûrement le plus beau baiser qu'on t'a donné jusqu'ici. Cette forêt devient votre jardin secret pendant presque deux mois. Mais petit à petit, tu vois des détails chez lui qui te perturbe. Trop occupé à regarder son corps qui te fait frissonner tout entier, tu n'avais pas remarqué l'alliance à sa main gauche. Puis, vint s'ajouter les appels réguliers d'une femme, et de plusieurs enfants. Leurs voix se renvoient comme des écho à tes oreilles, que tu feins d'ignorer quand tu es témoin. On passe le chercher à la fin de son travail. On lui prépare son déjeuner. Jusqu'au jour où il disparaît. Il ne vient plus travailler, il ne te contacte plus, il n'est plus là dans la forêt. Mais si peu ne t'arrête pas. Tu trouves où il habite, tu vas le confronter, il s'énerve et t'expulse de sa vie avec facilité, le visage rouge de colère, les poings levés. Tu rentres de chez toi, la lèvre en sang, les vêtements déchirés, et le cœur en lambeau. Tu sais ce que tu veux faire, tu n'as pas besoin d'y réfléchir. A la fin de la soirée, toute la maison est plongée dans le silence. Ton père et ta mère sont allongés dans le canapé, endormis. Ta sœur est avachie dans son fauteuil devant son bureau, dans sa chambre, la joue collée contre le bois de son bureau. Tu vas dans la cuisine, tu allumes le gaz, et tu t'allonges dans la cuisine. Tu avales dix de ces pilules que tu as déjà données à ta famille. A ce père haineux que tu détestes tant, à cette mère intransigeante et exigeante, à cette sœur fouineuse et hystérique. Tu pleures en fermant les yeux. La vie ne vaut rien quand le cœur n'y est plus.
Tu te réveilles, tu as l'impression de te noyer, mais ce n'est pas oppressant. La noirceur qui t'envahit te berce, et te calme. Mais tu sens que tu dois bouger. Tu immerges, comme on émerge de l'eau, tu prends une grande inspiration. Tu ne sais pas où tu es, mais tu t'en fiches. Tu t'en vas. Tu pars mener une nouvelle vie ailleurs. Tu te sens différent, plus léger, plus libre. C'est agréable. On t'a brisé le cœur, tu n'as pas particulièrement envie de briser ceux des gens, mais c'est plus fort que toi. Tous les corps que tu croises t'attirent, il y a quelque chose chez eux que tu désires, tu ne sais pas encore quoi mais tu comptes bien trouver. Tu prends le temps d'observer tous ces êtres humains. Ils ne te fascinent pas mais ils t'appellent. Les jours passent, les jours d'une nouvelle vie, tu le comprends bien mais pas entièrement. Et tu sens que quelque chose s'effrite. Quoi ? Tu ne sais pas. Il te faut quelques semaines de plus pour le découvrir. C'est ton corps. Tu paniques, tu ne sais pas quoi faire. Tu te sens de plus en plus faible, ta peau blêmit, tu meurs de froid. La seule chose que tu trouves à faire, c'est aller chercher de la chaleur chez ceux que tu penses être tes semblables. Peu importe, la première personne est la bienvenue. Une jeune femme, mais quand même un peu plus vieille que toi. Elle commente ta beauté sauvage, ton charme extravagant, tu lui plais et tant mieux. Tu te réfugies dans ses bras, quand ta peau effleure la sienne, tu te réchauffes immédiatement. Mais ça ne te suffit pas. Il te faut plus. Tu vas chercher plus loin. Tu vas chercher la douceur de ses lèvres, et là, tu te sens terriblement mieux. Tu prolonges le baiser encore et encore, malgré les réticences qu'elle semble exprimer. Tu as chaud, tu transpires presque, tu sens l'énergie couler de nouveau dans tes veines. Et quand tu ouvres les yeux, tu découvres un corps inerte entre tes mains. Tu es trop choqué pour hurler, mais tu ne te sens pas mal. C'est presque... Jouissif. Tu te sens si bien. Tu as une nouvelle vie devant toi, et tu comptes en profiter. |
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Montague Rochasla nuit je mens, à Paris je me fonds | Sujet: Re: so come over now and talk me down - Rubi Sam 31 Oct - 20:34 | |
| Bienvenue ici, et bon courage pour ta fiche! |
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Mahaut Daumla nuit je mens, à Paris je me fonds | Sujet: Re: so come over now and talk me down - Rubi Sam 31 Oct - 20:59 | |
| Bienvenue Il est bien joli ce garçon, Mahaut est volontaire pour croquer un petit morceau . Et une sirène en plus de ça. Pour qui s'est-il tué ? |
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Ekaterina Bukovskila nuit je mens, à Paris je me fonds | Sujet: Re: so come over now and talk me down - Rubi Sam 31 Oct - 21:04 | |
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Rubi Delenikasla nuit je mens, à Paris je me fonds | Sujet: Re: so come over now and talk me down - Rubi Sam 31 Oct - 22:26 | |
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Invité la nuit je mens, à Paris je me fonds | Sujet: Re: so come over now and talk me down - Rubi Dim 1 Nov - 10:39 | |
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Calla Pettersenla nuit je mens, à Paris je me fonds | Sujet: Re: so come over now and talk me down - Rubi Dim 1 Nov - 12:52 | |
| Rubi il est trop chou Je veux l'enfermer et l'admirer! Belle créature Bienvenue et bon courage |
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Cat Fronsacla nuit je mens, à Paris je me fonds | | | |
Rubi Delenikasla nuit je mens, à Paris je me fonds | | | |
Arthur Verlacla nuit je mens, à Paris je me fonds | Sujet: Re: so come over now and talk me down - Rubi Lun 2 Nov - 17:15 | |
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Hyacinthe Durerla nuit je mens, à Paris je me fonds | Sujet: Re: so come over now and talk me down - Rubi Mar 3 Nov - 9:59 | |
| Je suis désolée, je suis grave en retard pour t'accueillir Ta plume est si jolie, et ce personnage qui se dessine ! Ton avatar a quelque chose d'immensément particulier, je ne saurai lui donner un nom, une aura peut-être et, il est tellement bien choisi pour ton personnage Le groupe, le métier, skatteur professionnel c'est la classe C'est un combo parfait que tu nous proposes là et tu as bientôt fini ta fiche en plus, alors vite vite pour que je lise tes futurs rps ! Bienvenue chez toi |
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Rubi Delenikasla nuit je mens, à Paris je me fonds | Sujet: Re: so come over now and talk me down - Rubi Mar 3 Nov - 11:52 | |
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Mahaut Daumla nuit je mens, à Paris je me fonds | Sujet: Re: so come over now and talk me down - Rubi Mar 3 Nov - 16:56 | |
| BIENVENUE CHEZ TOI Joli poisson Ce garçon qui s'éprend d'un autre, d'un homme qui le refuse, petit qui court au suicide pour un chagrin, c'est terrifiant comme idée, tout tragique Et c'est beau. Ta plume est sublime, la seconde personne n'étant pas aisée à maitriser, là, les mots coulent, ça ne bute pas J'ai beaucoup aimé la deuxième partie de l'histoire, où il ne comprend pas ce qui lui arrive, vole une vie en toute innocence Félicitations, tu es validé(e). Avant de franchir les portes de Florence, voici quelques conseils qui pourront t'aider à survivre. D'abord, il te faut VÉRIFIER TON AVATAR DANS LE BOTTIN pour avoir la certitude qu'aucun double, maléfique ou bénéfique, ne vienne te voler ton visage. Ensuite, tu peux aller CRÉER TA FICHE DE LIENS ET DE RPS afin de ne pas terminer en âme noire et solitaire. Pour ce faire, tu peux aussi CRÉER UN SCÉNARIO et peut-être retrouver un visage de ton histoire, une personne avec qui survivre et mourir dans ce chaos. Enfin, si tu veux te détendre et oublier les sombres mémoires du passé, tu peux aller FLOODER avec les autres florentins. Mais n'oublie pas, il faut toujours se méfier de son voisin, ici. Alors, bon courage et bon jeu. |
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Rubi Delenikasla nuit je mens, à Paris je me fonds | Sujet: Re: so come over now and talk me down - Rubi Mar 3 Nov - 19:00 | |
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Contenu sponsorisé la nuit je mens, à Paris je me fonds | Sujet: Re: so come over now and talk me down - Rubi | |
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